Voyage au PANAMA, mon guide complet : itinéraire, budget, conseils…

Voilà un échantillon des questions auxquelles nous avons répondu suite à notre envie d’explorer le Panama.

Pourtant, le Panama est une destination encore peu connue des touristes. Un véritable petit bijou qui tend à concurrencer son voisin le Costa Rica dans les années futures. Archipels paradisiaques, jungles luxuriantes, collines et montagnes grandioses, faune et flore préservées… Ses plages exotiques, ses randonnées surprenantes et ses activités variées seront plaire à tout voyageur en quête d’aventures nouvelles. 

Troisième pays de notre tour du monde, le Panama ne figurait pas sur notre liste cependant. Nous avons décidé de nous y rendre sur un coup de tête, après une quarantaine de jours au Costa Rica. L’une des meilleures décisions de notre vie ! Le Panama est, à ce jour, le pays qui nous a le plus surpris tant nous ne connaissions rien de ce petit bout de terre reliant l’Amérique Centrale à l’Amérique du Sud. Nous avons été conquis !

Tout ce que vous devez savoir concernant notre voyage au Panama et son organisation se trouve ici. N’hésitez pas à me poser vos questions en commentaire en fin d’article. Je vous répondrai avec grand plaisir.

Bonne lecture ! 

Quand partir au Panama ?

Le Panama est un pays tropical qui ne connaît que deux grandes saisons à l’année : la saison sèche, entre décembre et avril, et la saison humide, entre juin et octobre. Les mois de mai et de novembre sont des mois dits de « transition ».

Mais de façon générale, le pays est ensoleillé toute l’année et les températures ne varient que très peu. Il ne fait, pour ainsi dire, jamais réellement froid au Panama sauf si vous vous rendez dans les hautes montagnes. Nous avons eu des températures très stables lors de notre voyage, entre 20 °C pour le plus « froid » et 30 °C pour le plus chaud.

Peut-on distinguer une « bonne période » pour voyager au Panama ? La réponse est oui et…non. Pour beaucoup, la saison sèche est le meilleur moment pour explorer le Panama car les pluies y sont quasi inexistantes. Mais il peut parfois faire un peu trop chaud, ce qui n’est pas forcément très agréable pour faire de la randonnée par exemple. La saison des pluies, comme son nom l’indique, n’offre pas les meilleures conditions pour autant. Il peut parfois pleuvoir très fort et pendant longtemps. Mais certains préfèrent cette saison car c’est à ce moment-là que la végétation tropicale est la plus belle.

Que choisir ? Les mois de transition comme mai et novembre sont de bonnes alternatives. Nous avons voyagé presque un mois dans le pays de la mi-novembre à la mi-décembre et nous sommes passés par tous les temps : beaucoup de soleil, beaucoup de pluie, de la chaleur, de la fraîcheur…

Un conseil… Pas de prise de tête ! Et vous serez satisfaits dans tous les cas. Peu importe la saison à laquelle vous vous rendrez au Panama, vous reviendrez avec de merveilleux souvenirs à raconter.

Quelles sont les formalités ?

Pour les ressortissants français, nul besoin de visa pour voyager au Panama, dans la limite de 90 jours sur place. Seul le passeport est obligatoire, avec une validité de plus de 6 mois à la date de départ.

Autrement, il est vivement conseillé de pouvoir présenter un billet d’avion retour vers la France (ou vers une prochaine destination), ainsi qu’une solvabilité financière d’un minimum de 500 dollars, ou son équivalent en carte de crédit, référence bancaire ou chèques de voyage.

Côté assurance, j’ai une carte Visa Premier (semblable à la Mastercard Gold) qui comprend une bonne couverture (jusqu’à 155 000 € pour les frais médicaux à l’étranger). La Visa Classique (ou Mastercard Classique) ne possède pas d’aussi bonnes garanties (jusqu’à 12 000 € pour les frais médicaux). Vous pouvez éventuellement souscrire à une assurance indépendante si vous ne possédez pas de Visa Premier ou de Mastercard Gold. À noter que les assurances Visa et Mastercard ne prennent pas en charge les vols de bagages ou d’effets personnels, contrairement aux assurances indépendantes.

Notre voyage au Panama ayant eu lieu durant notre tour du monde, nous étions couverts par l’assurance Chapka (Cap Aventure). Mais nous n’avons pas eu à les appeler, ouf !

Quel itinéraire choisir ?

Voici les différentes étapes de notre voyage au Panama. Le choix d’un itinéraire est personnel. Celui que nous avons choisi est adapté à nos goûts et nos envies.

Nous sommes restés 26 jours au Panama. Voyageant à un rythme lent, il est tout à fait possible de condenser cet itinéraire sur moins de temps (15-20 jours).

Nous découpons ce voyage en 5 grandes étapes :

Bocas del Toro : l’archipel paradisiaque aux plages de rêve et à l’ambiance festive, tout proche de la frontière costaricienne. 

Boquete : la petite ville des montagnes entourée de forêts humides et de multiples cascades, aux portes du plus haut sommet du pays, le volcan Barú.

Santa Catalina et Isla Coiba : le village de pêcheurs, point de départ pour se rendre dans l’un des plus beaux lieux préservés du pays côté Pacifique, Isla Coiba et son parc national. 

El Valle de Antón : le village rural proche de Panama City aux randonnées époustouflantes.

Panama City et l’archipel des San Blas : l’incontournable capitale du pays, proche de l’archipel paradisiaque autonome des Caraïbes, les San Blas. 

Nous avons décidé de suivre la Panaméricaine jusqu’à Panama City car c’est l’itinéraire le plus simple et le plus emprunté par l’ensemble des voyageurs depuis le Costa Rica. Tous les lieux incontournables à découvrir au Panama sont reliés à cette route. Les transports, qu’ils soient pour les locaux ou les touristes, circulent en majorité sur cette voie également.

Quel budget prévoir ?

Une fois l’itinéraire choisi, il est plus facile d’établir un budget précis pour l’ensemble du voyage.

Voici un récapitulatif des dépenses effectuées lors de notre voyage au Panama. Ce budget reste approximatif car il peut varier selon plusieurs critères : nombre de voyageurs, type de voyageurs, période de voyage, type de logement souhaité…

Comptez environ 1 000 € à 1 200 € de dépenses par personne pour 26 jours. *budget établi pour un voyage en novembre/décembre 2022

En détail :

345 € d’hébergement (logements type Airbnb et hostel)

130 € de transport (bus principalement)

200 € de nourriture (restaurants, cuisine maison…)

440 € de loisirs (et de shopping)

Je précise que nous n’avons pas eu à payer de billet d’avion pour cette destination car nous venions du Costa Rica par la frontière terrestre de Sixaola.

Bien que ce soit un pays d’Amérique Centrale, le Panama n’est pas vraiment une destination bon marché. Il vous faudra prévoir un budget conséquent si vous souhaitez faire un maximum d’activités incontournables.

Voici quelques conseils pour vous aider à réduire vos dépenses lors d'un voyage au Panama :

• Réservez vos vols sur Skyscanner, mon comparateur favori qui propose les meilleurs prix avec de bons outils d'analyse (mois le moins cher, ville de départ la moins chère…).
• Réservez vos hébergements sur Booking, le leader mondial de la réservation d’hébergement en ligne : vous y trouverez les meilleures offres aux meilleurs prix. Et n'hésitez pas à vous inscrire gratuitement au programme de fidélisation Genius qui propose des réductions et des récompenses très intéressantes.
• Sélectionnez vos activités et excursions à l’avance : vous pourrez profiter de tarifs avantageux en réservant vos activités sur Get Your Guide, la plateforme que j'utilise pour programmer mes expériences de voyage
• Privilégiez les transports locaux plutôt que les transports touristiques : vous paierez beaucoup moins cher pour des durées pas nécessairement plus longues.  
• Essayez d’alterner vos choix de restauration : fast-food, cuisine maison, restaurant… Repérez les « fondas », qui sont de petits restaurants où les locaux viennent manger à bon prix. Notez que dans certaines régions moins touristiques du pays (autour de la capitale par exemple), il est parfois moins cher d’aller manger à l’extérieur que de se faire sa propre cuisine !

Le Panama est un pays encore dans l’ombre de son voisin le Costa Rica. Il tend cependant à se développer dans les années futures et à accueillir de plus en plus de touristes. Il n’est pas absurde d’imaginer que les prix puissent s’envoler d’ici quelques années.

Comment se déplacer ?

Avant de traverser la frontière costaricienne, nous nous sommes demandés s’il était vraiment indispensable de louer une voiture pour voyager au Panama. Aujourd’hui, notre réponse est la suivante : non. Il est tout à fait possible de voyager au Panama sans avoir à louer de voiture (et sans difficulté). Je vais vous expliquer pourquoi.

La Panaméricaine comme simple itinéraire

Si vous observez attentivement une carte du Panama (sur Google Maps par exemple), vous remarquerez qu’il n’existe qu’une seule grande route traversant l’ensemble du pays : la Panaméricaine. Cette route relie tous les lieux à ne pas manquer lors d’un voyage au Panama. Nombreux sont les transports qui l’empruntent également.

Alors pourquoi se creuser la tête inutilement ? Dans un sens ou dans l’autre, la Panaméricaine est un itinéraire parfait pour visiter le pays. Les agences touristiques et les locaux le savent. Dès que vous sortirez de cette route, vous n’aurez pas de mal à trouver un bus pour vous amener à destination (à condition que cette dernière ne soit pas dans un lieu très reculé où les touristes ne se rendent jamais).

Oubliez l’avion (pensons écolo) et le train (il y en a peu). Le bus est le principal moyen de transport au Panama. Il en existe deux types : les bus (ou navettes) touristiques, les plus chers mais les plus confortables, et les colectivos, les moins chers mais les plus « roots » !

Les bus (ou navettes) touristiques

Si votre budget vous le permet et que vous n’avez pas le temps de partir à la recherche d’informations, les bus/navettes touristiques vous iront à merveille. Ils sont missionnés par les agences touristiques pour transporter les voyageurs sur des portions de trajet assez fréquentés (de Bocas del Toro jusqu’à Boquete par exemple). Nous en avons pris deux : de Bocas del Toro jusqu’à Boquete et de Boquete jusqu’à Santa Catalina.

Cela a un coût. Nous avons payé environ 30 € par personne pour chaque trajet. Nous étions fatigués après notre road trip au Costa Rica et peu motivés à essayer les colectivos. On a finalement changé d’avis quand nous avons rencontré un groupe de voyageurs à Santa Catalina qui ne voyageait qu’en colectivo.

La principale agence proposant des bus/navettes touristiques est Hello Travel Panama. Mais vous pouvez aussi vous rendre dans des agences locales et demander directement si un bus/navette est disponible (la plupart ne sont pas référencés sur internet). Vous pourriez même tenter le jeu de la négociation, bien que les Panaméens ne soient pas toujours ouverts à cette pratique.

Un bus nommé colectivo

Si vous avez un petit budget et que vous aimez l’aventure, pourquoi ne pas essayer les colectivos ? Ce mot espagnol qui signifie « transport collectif » est très populaire dans les pays d’Amérique Centrale et d’Amérique du Sud. Il s’agit d’un bus (ou d’un gros van) qui circule entre deux destinations et qui s’arrête quand une personne lui fait signe sur la route pour monter ou quand une personne à l'intérieur du bus lui demande de s’arrêter pour descendre.

Un transport plutôt atypique. Le prix (entre 2 et 4 € généralement) est défini en fonction de la durée de votre trajet et vous payez directement le chauffeur en espèces quand vous descendez (ou son assistant s’il en a un). Il y a parfois des colectivos qui fonctionnent comme des bus de ville avec des arrêts définis mais c’est plutôt rare au Panama.

Hormis qu’il soit éloigné de nos habitudes, le problème majeur du colectivo est de trouver les informations le concernant. Où et quand passe-t-il ? Combien coûte-il ? Ne perdez pas votre temps à chercher ces informations sur internet. Le meilleur moyen d’avoir les bonnes réponses est de questionner directement les locaux. Votre hôtel, un commerçant, une agence touristique, un passant dans un lieu fréquenté (parc, place…), un chauffeur de colectivo lui-même… Les Panaméens sont gentils et même contents de vous renseigner sur leur moyen de transport favori. Ils aiment qu’on essaye, un tant soit peu, de vivre leur vie quotidienne.

Nous n’avons pas eu de difficultés à trouver un colectivo à chaque fois que nous voulions nous déplacer. Tout s’est toujours bien passé et nous avons même adoré l’expérience. Nous avons fait des rencontres, discuté longuement avec des Panaméens, eu des fous rires face à des situations bien cocasses. Nous recommandons aux voyageurs qui se rendent au Panama de tester le colectivo car il fait clairement partie de la culture et de la richesse de ce pays.

Peu importe le transport que vous choisirez pour vous déplacer au Panama, il est peu probable que vous vous retrouviez en difficulté. La location d’une voiture est un confort indéniable mais cela a un vrai coût. Et il serait dommage de passer à côté de véritables expériences de vie comme celles que peuvent vous offrir les transports en commun.

Et dans sa valise ?

Que vous partiez en saison sèche ou en saison humide, prévoyez t-shirts, shorts, robes, débardeurs, maillots de bain… Les températures descendront rarement en dessous de 20 °C. Un petit pull ne sera pas de trop pour les soirées en altitude. Un imperméable sera très appréciable également si vous partez en saison des pluies. Côté chaussures, pensez à vos baskets de randonnée si vous souhaitez vous balader dans la jungle. Autrement, les sandales et les tongs seront vos meilleures amies.

Ne surchargez pas votre valise, vous pouvez laver votre linge sur place. Les auberges et les Airbnb ont généralement une machine à laver à disposition et les laveries ne manquent pas dans les rues. Nous avons pu faire plusieurs machines sans problème dans les grandes villes.

N’oubliez pas les indispensables :

• Une copie pour chaque document valide (passeport, permis de conduire…). En cas de perte ou de vol, ces copies vous sauveront la vie.
• Un adaptateur pour la prise électrique (prise de type A/B). Nous utilisons celui de la marque Skross pour nos voyages.
• Quelques médicaments basiques et produits parapharmaceutiques (dans la limite des 100 ml par produit si vous prenez l’avion avec un bagage cabine seulement).
• Une batterie externe portable pour vos appareils électroniques. Nous utilisons celle de la marque Anker pour nos voyages.
• Une gourde pour éviter d’acheter des bouteilles en plastique. L’eau est potable dans la majeure partie du pays, excepté dans les endroits reculés.
• Une crème solaire et un chapeau pour ne pas cramer. L’indice UV au Panama est bien plus élevé qu'en France. 
• Un anti-moustique, surtout si vous partez pendant la saison humide.
• Une bonne paire de chaussures de randonnée. Il peut y avoir beaucoup de boue sur les chemins en pleine jungle.

Avec le recul, nous regrettons simplement de ne pas avoir emporté de meilleure veste de pluie. On s’est malheureusement retrouvés trempés plusieurs fois avec notre imperméable, beaucoup trop fin pour les grosses pluies tropicales.

Les « pour » et « contre » d’un voyage au Panama

Voici pour vous mes « pour » et « contre » d’un voyage au Panama. Ils vous aideront à y voir un peu plus clair sur ce pays aujourd'hui.

Les « pour »

• Une destination peu touristique, épargnée du tourisme de masse. Dans l’ombre de son voisin le Costa Rica, le Panama n’attire que peu de voyageurs et ça se comprend. Entre le manque de renseignements sur internet et la communication quasi inexistante du pays pour attirer les touristes… Il est très agréable de voyager dans un pays peu fréquenté et où les locaux sont heureux de vous accueillir (ce qui n’est pas toujours le cas). 
• Une variété de paysages impressionnants. Entre archipels paradisiaques, jungles luxuriantes, villes extravagantes… Impossible de s’ennuyer. Saviez-vous qu’il existe un seul endroit au monde où l’on peut admirer à la fois l’océan Atlantique et l’océan Pacifique ? Ce lieu extraordinaire n’est autre que le sommet du volcan Barú et il est le point le plus élevé du Panama, à 3 474 m.

Les « contre »

• Une destination peu touristique, oui mais… Se renseigner n’est pas toujours facile ! Sans passer par une agence de voyage, il n’est pas simple de s’organiser soi-même quand on décide de partir au Panama. Notamment en ce qui concerne les transports. Il faut oser questionner les locaux et ne pas avoir peur de s’organiser sur place et avec peu d’avance.
• Des prix parfois élevés. Même si le coût de la vie au Panama est 31 % moins élevé qu'en France, les activités restent plutôt chères car beaucoup d’entre elles s’organisent avec des agences. Il est très compliqué de se rendre aux San Blas sans passer par une agence par exemple. Et ces dernières se font une marge considérable !

Ces ressentis reflètent notre expérience et nous appartiennent. Nous avons vraiment adoré notre voyage au Panama et nous y reviendrons avec grand plaisir.

Mes derniers conseils

Dernières petites infos en vrac pour une préparation optimale :

Langues : espagnol (langue officielle) et anglais pour s'adresser aux touristes qui ne comprennent pas l'espagnol.

Décalage horaire : - 6 h de décalage avec la France (- 7 h en heure d’été).

Monnaie et frais bancaires : le Panama a deux monnaies courantes dans son économie, le balboa et le dollar américain. Ils ont la même valeur donc vous n’aurez pas à vous soumettre au casse-tête de la conversion de devises. Quelle que soit la monnaie choisie, des frais de change et de commission seront appliqués à tout paiement avec votre carte bancaire traditionnelle. Souscrivez à une carte bancaire internationale sans frais (Boursorama, Fortuneo…) avant votre départ. Vous vous en féliciterez ! Vous pouvez gagner jusqu'à 150 € en ouvrant votre compte Boursorama via mon lien de parrainage avec le code LOBO7649.

Taxes et pourboires : L’ITBMS (équivalent TVA) s’élève à 7 % dans tout le pays (10 % pour l’alcool). Elle ne s’applique pas sur le carburant, les produits alimentaires et les services médicaux. Elle peut être comprise ou non dans le prix affiché. Dans les restaurants, elle est très souvent ajoutée sur le ticket de caisse après le total. À cela s’ajoute ensuite le pourboire ! Le Panama a une culture américaine et les serveurs ne vivent presque que de leur pourboire. Il est coutume de laisser 10 %, 15 % ou 20 % de la note pour le service. Ce n’est pas obligatoire, mais il est mal vu de ne rien laisser.

Réseau et données mobiles : le meilleur moyen de rester connecté à moindres frais au Panama est d’acheter une carte SIM. Il n’y a clairement pas d’avantage à utiliser son propre forfait téléphonique. À titre indicatif : Free prélève 9,7 € par mo consommés et 1,35 € la minute d’appel vers les autres mobiles. Je vous recommande les cartes eSIM de Holafly, qui sont des cartes SIM virtuelles que vous pouvez installer grâce à un QR Code sur votre téléphone. Il existe plusieurs formules selon le pays et le nombre de jours que vous voyagez. C'est simple et très efficace. Profitez de 5 % de réduction avec mon code LOLITAONTHEROAD sur votre carte eSIM de chez Holafly !

Sécurité : nous ne nous sommes jamais sentis en insécurité dans tout le Panama, et ce, à n’importe quelle heure de la journée (et de la nuit). Attention tout de même à faire preuve de bon sens (ne pas exposer ses objets de valeur, ne pas se balader avec beaucoup d’argent liquide sur soi…). Certains quartiers de Panama City sont à éviter mais peu de chance que vous vous y rendiez compte tenu de leur localisation lointaine et de leur absence d'intérêt touristique. 

Alors ? Convaincus ? Le Panama n’attend plus que vous à présent !

Notre voyage au Panama en vidéo

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